Électron libre

Résumé :
La vie d’un enfant de la DDASS des années 60. Une enfance bien tourmentée, plongée dans la réalité adulte bien trop tôt. Six familles d’accueil, des années d’internat dans des écoles privées. Une forge pour se construire une armure d’acier, peut-être trop. L’apprentissage de la vie d’adulte à marche forcée. J’ai écouté, entendu, subi, tout en pensant : pauvre con, si tu savais ! J’écris ce livre avec mes souvenirs, j’aurais pu demander à voir mon dossier à la DDASS. Les dates seraient plus précises, mais qu’importe, il y aura une certitude : la vérité. Ce qui est compliqué dans la vérité, c’est de la faire comprendre, le mensonge est tellement plus convaincant. L’électron libre, que ce soit dans la conception du livre ou de la biographie, la recherche perpétuelle de la liberté. Qui ose dire que l’on devient le copier-coller de ce que l’on a vécu ? Il existe une exception dans tous les domaines, et l’auteur a fait partie de ceux-là. La réflexion facile clame « qui a bu boira, qui voit la violence devient violent ». Non, le mal-être peut être positif si l’on se met du bon côté, tel une balance romaine, ou l’on s’élève ou l’on s’abaisse. Le vaccin du bien-être, c’est toi qui le fabriques, le peaufines et tu cries « Non, je ne suis pas ça et ne le serai jamais. »
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