Albert dans le monde parallélépipède: Tome 2

Résumé :
Albert tisse rapidement une amitié inattendue avec Léonard de Vinci, le génie de la Renaissance, bien que mort depuis des siècles sur Terre. Leurs discussions sur l'art et les machines futuristes prennent une tournure particulièrement surréaliste lorsque Léonard propose de peindre un portrait d'Albert, avec "juste un soupçon d'extravagance", c'est-à-dire des ailes de dragon et une couronne en fromage. Mais le cœur d'Albert n'est pas insensible aux charmes de Médée, la redoutable magicienne de la mythologie grecque. Leur romance naissante, marquée par des échanges aussi passionnés que périlleux, ajoute une touche de drame à l'aventure. Médée, dans une tirade typiquement dramatique, lui déclare : "Je pourrais détruire des royaumes pour toi, mais pourrais-tu, toi, faire du thé correctement ?" Albert se retrouve alors dans une quête épique pour maîtriser l'art du thé à la menthe. Leur chemin croise également celui de Nostradamus, qui s'évertue à prédire les prochains rebondissements avec une précision… douteuse. "Je vois un grand danger, une créature terrible… ou peut-être juste un chat qui renverse un vase", annonce-t-il, confondant l'appréhension et l'absurdité. Ce mélange de prophéties sérieuses et de malentendus cocasses offre un souffle comique à l'histoire. Enfin, au détour d'une ruelle sinistre, Albert et ses amis rencontrent Guillaume Tell, non pas avec son arc et sa pomme légendaire, mais bien avec une arme étrange : un lance-pomme de terre, en revendiquant que les pommes, c'est "trop mainstream". Sa mission ? Défendre l'honneur des légumes sous-estimés. Le Parallélépipède Deux devient ainsi le théâtre d’une épopée où Albert et ses compagnons jonglent entre rires et dangers, magie et absurdité, construisant des alliances improbables dans un monde où l'imprévisible est la seule constante.
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