Deidaale* : Elucidarium Universalis

Résumé :
Une paisible famille de fermiers se démène nuit après jour pour subsister. Une lutte pour la survivance, comme verdict implacable de sentences surannées. Quels secrets peuvent bien lier ces infortunés au destin de ce qu'il reste de l'humanité, après l'apocalypse ? Ces révélations pourraient en surprendre plus d'un, voire eux-mêmes, alors qu'ils découvrent, contraints, les restes du monde. La résistance peut-elle renaître de leurs faiblesses ? Quelle est donc cette honte que dissimule ce père face aux dilemmes de l'existence ? Peut-il regagner l'estime de sa fille, doit-il sauver son fils de la conscription, protéger sa bien-aimée et rester dissimulé au regard de la fatalité ou, au contraire, provoquer ses succubes ? Et que pourra bien faire ce petit garçon timide face à l'adversité, brutalement arraché à son foyer et acculé au mitan d'un conflit fondamental ? Précipité à l'aube sanglante d'un énième cataclysme, à la merci d'un envahisseur impitoyable et livré à une vindicte dont on l'avait pourtant préservé... Pourra-t-il se révéler et s'objecter face aux affres de sordides vérités ? Afin de sauver ce qui pourrait encore l'être, ils devront débusquer le mythique « Magestre de l'Impossible ». Une battue au(x) spectre(s) de laquelle peu reviendront indemnes. Mais, gare aux baisers de la mort, car, même si la foudre frappe rarement deux fois au même endroit, la mémoire a bonne histoire... et bon dos. Et les légendes seront couchées par les vainqueurs. OEuvre à lyre de toute engeance !
Réduire le résumé