« Les pères ne sont pas éternels. Un jour, le mien rendrait l'âme. Cette pensée m'inquiétait : qu'allais-je bien pouvoir raconter de cet homme le
Résumé :
« Les pères ne sont pas éternels. Un jour, le mien rendrait l'âme. Cette pensée m'inquiétait : qu'allais-je bien pouvoir raconter de cet homme le jour de ses funérailles ? À quarante ans, je ne savais rien ou presque de l'illustre inconnu qui m'avait donne la vie, si ce n'est qu'une part de ses mystères se cachait en Angleterre. Il était temps d'aller voir de l'autre côté de la Manche. Une fois encore, tout allait se régler par le voyage... » Charles Wright
Le Jardin anglais est le récit de cette virée sur l'île enchantée. Pendant trois semaines, du Suffolk à l'Hampshire, le narrateur et son père, escortés par l'attachante tante Harriet, se sont lancés sur les routes, à la recherche inquiète et joyeuse de leurs origines.
De maisons victoriennes en cimetières, des Beatles à Shakespeare, ils ont tourné les pages du roman familial, exhumé les secrets, donné un visage à tous ces ancêtres oubliés qui avaient fait venir la vie jusqu'à eux.
Déclaration d'amour pudique d'un fils à son père, portrait impressionniste de l'Angleterre éternelle, Le Jardin anglais est aussi une méditation sur ce qui fait vivre, aimer et mourir.
Charles Wright vit entre l'Ardèche et Paris. Le Jardin anglais est une deuxième aventure, après Le Chemin des estives (Flammarion 2021/J'ai Lu, 2022, prix Europe 1, prix de la Liberté intérieure), dont le succès l'a fait connaître du grand public.