Résumé :

« Il leur doit l’essentiel. Ils lui ont appris que le bonheur se construisait dans le don de soi et l’empathie. Il lui aura suffi de les regarder vivre pour en comprendre le sens. »


L’humanité se retrouve plongée dans une posthistoire après le cataclysme nucléaire provoqué par la troisième guerre mondiale qui a dévasté la majeure partie du globe. Parmi les survivants, Théa, la belle métisse maorie, et ses frères utopiens tentent de se reconstruire un avenir sur le sol zealandien. La résilience australe s’active sous la gouvernance d’un consortium à la tête duquel règne le « Doge », un primat énigmatique et psychopathe. Aux antipodes, le sombre et tout-puissant Pimaster, maître des robots « nums », veut en finir avec l’homo sapiens de la seconde boucle. La mise à jour d’une momie aux atours anachroniques, habitée par un phénomène paranormal qui émet une étrange lumière bleue, conduit Théa à renouer avec son passé. Avec l’aide de ses compagnons de route, elle va entrevoir une possible échappatoire pour détourner le taxon humain de l’extinction. Dans la course au salut qui s’engage et les douloureux évènements qui l’accompagnent, se fondent la nécessité d’une vocation céleste et l’évidence d’une intransigeante cosmogonie.

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